En retard à cause du BDSM

Catégories : Bondage Shibari Kinbaku Femmes soumises sexuelles Femmes fessées
il y a 8 ans

Cela lui a pris comme une envie de pisser comme ça au réveil. Il était sept heure quand il m’a attachée les mains avec de la corde à la tête du lit. Il a ensuite fait de même avec mes jambes qu’il a maintenues odieusement écartées de façon à ce que mon sexe lui soit totalement offert. A mes jambes relevées il a ajouté des cordes autour de mes genoux pour les étirer sur les côtés du lit. Et là, il a commencé à m’allumer avec un vibro avant de me sauter comme un sauvage. C’était divin, j’aime qu’il me surprenne et me possède comme ça, me sentir SA chose galvanise ma libido et mes sensations.

Il est venu en moi sans tarder en dévorant ma bouche de bisous, nos langues s’entrelaçaient, nous fusionnions dans cette forme d’amour fou que nous partageons. Au lieu de me libérer, quand il s’est retiré il m’a logé le vibro dans les fesses avant de le fixer avec une autre corde de façon à ce qu’il ne s’échappe pas pendant sa douche. Après sa douche il est allé déjeuner avant de revenir me voir puis de se vêtir devant moi toujours aussi offerte et dans une position un peu gênante. Et là, au lieu de me libérer, il a juste posé deux pinces à sein sur mes tétons et a desserré un des noeuds maintenant mes mains avant de me dire qu’il était en retard et que je n’avais qu’à me libérer toute seule.

Il m’a crié « Surtout ne tire pas sur les cordes » en partant précipitamment sans écouter mes suppliques. J’étais folle de rage, j’avais une monstrueuse envie de faire pipi, je n’avais pas joui et j’allais être en retard. J’ai mis trois quart d’heure pour me libérer en le haïssant. Même en me précipitant pour m’habiller et déjeuner à l’arrache en oubliant la douche, je suis arrivée avec une heure de retard à mon travail.

Suivie par texto dans la mâtiné, (à partir du moment où je lui répondais il était rassuré et savait que je m’étais libérée) j’ai appris que pour avoir eu une heure de retard, je venais d’écoper d’une fessée d’une durée de 60 minutes sous bâillon pour avoir menti à mon patron.

Je hais le bâillon, cela fait baver !

Le pire est que le soir, il a mis sa promesse à exécution mais c’était bien bon car ce n’était pas une vraie punition. Les mains attachées dans le dos j’ai reçu ma fessée avec des caresses plus ou moins coquines et sadiques entre chaque série de claques. Au lieu de me libérer et de retirer le bâillon, il m’a faite pencher sur la table et m’a possédée comme ça en levrette. J’ai joui plusieurs fois bien avant lui en continuant de baver, à ce moment là, je n’en avais plus rien à faire.

SAUF QUE !

Sauf qu’il m’a refait le coup de m’obliger à me libérer seule après avoir desserré le noeud final de son bondage avant d’aller nous préparer le dîner en me disant qu’il est « un galant homme attentif à sa femme qui sait partager les tâches ménagères » !

Mon pantalon ne s’est pas remis de ce qui a coulé de mon minou pendant qu’il cuisinait, parce que mes règles venaient de se déclencher. La haine !

Ecrivaillon

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